Il y a des soirs comme cela. Où madame n'a pas envie de grand chose mais ne veut pas me laisser l'âme en peine. C'est ce genre de soir ou madame aime me saisir le sexe et me le caresser longuemment le faisant doucement durcir entre ses doigts. Une fois bien dur elle s'amuse à me branler. Tantôt doucement, tantôt rapidement mais toujours avec une seule envie me faire gicler. Ma chance est que quand ce n'est pas moi qui me branle devant un porno et malgré tout le plaisir qu'elle me procure j'ai du mal à jouir. Pour est-ce une chance ? Car elle continue encore et encore, elle monte et descend le long de ma queue encore et encore. Une seule devise jouir ou mourir. Elle en vient à avoir mal au poignet du fait de la position pas toujours très confortable ou du fait de la durée du moment, mais moi je m'en fiche c'est si agréable que je me laisse faire.

Le moment le pire durant ces soirées c'est le moment ou je sens le jus monter a l'intérieur de mon membre durci. Je sens qu'elle va parvenir à ses fins mais souvent c'est ce moment là qu'elle choisi pour arrêter un peu le mouvement et changer quelque peu de place, faisant redescendre aussi sec mon plaisir. Mais a force de tirer sur ma queue, l'inévitable fini toujours pas arriver et je ne sais pas comment l'expliquer mais c'est une véritable explosion lorsque mon sperme sort enfin de mon membre. Et lundi soir ce fut ainsi, j'ai joui comme rarement. Mon premier jet m'a tiré un râle de plaisir intense que les suivants n'ont pas réussi à tirer. Pourtant à chaque giclée je prenais un pieds d'enfer que seul les pipes de ma compagne arrivent à me tirer quand elle me faire jouir au fond de la gorge. 

Franchement se faire branler pendant plus de 20 minutes comme cela et jouir de cette force n'a fait que me mettre sur les rotules, j'ai eu du mal à marcher jusqu'à la salle de bain pour récupérer un gant de toilette pour essuyer mon sperme couvrant les draps de notre lit. Mais bon dieu que ce fut agréable....

Depuis quelque temps j'essaie que madame assouvisse un fantasme que trop rare dans nos ébats l'anulingus. Ce soir là j'étais à quatre patte dans le lit en train de goulument lui lécher l'entre jambe. Mon doigt à l'intérieur de son vagin lui titiller le point G la faisant mouiller comme rarement. Elle gémissait de plaisir me faisant accélérer ma pression sur ce point G pas toujours facile à trouver. Alors que je continuais ma besogne elle vint de mettre sous moi pour pouvoir bien me sucer. Un de ses doigts chercher mon petit trou. Lorsqu'il le trouva elle m'enfonça le doigt dans le cul, décuplant la puissance de mon érection alors même que ma queue était dans sa bouche. Pourtant elle se retira et pris ma queue dans sa main. Mais elle avait une autre idée en tête. Elle se glissa vers l'arrière pour avoir sa bouche au niveau de mes fesses. Après avoir bien bouffé mes couilles, elle insinua sa langue entre mes deux fesses et me prodigua un long et agréable léchage de trou de balle. j'étais au bord de l'extase ma langue continuant sa besogne dans sa fente d'où suitait sa mouille que j'avalais goulument. 

Elle sentait avec sa main que j'étais au bord de jouir et non contente de cela elle accéléra son mouvement de masturbation alors que sa langue me bouffait le cul. Enivré de ce plaisir si puissant je lui bouffait littérallement la chatte, son clito était au fond de ma gorge. Elle me mit un doigt au fond du cul pour mieux me donner du plaisir et c'est à ce moment là que j'explosais. Mon sperme lui innonda le haut de son pyjama à hauteur de ses seins. Je sentais mon cul se contractais autour de son doigt à chaque giclée de sperme. J'ondulais de plaisir étalant mon sperme tant sur son pyjama que sur mon ventre mais malgré tout ce plaisir je voulais qu'elle aussi jouisse et je parvins à mes fins quelques secondes plus tard. 

Comme quoi il faut réaliser ses envies et ses fantasmes.