dulu75

Après 5 ans de vie commune et 2 enfants, et une vie qui bouge pas mal, le sexe se fait un peu rare en ce moment. Mais monsieur est toujours aussi chaud qu'avant. Tout les soirs lorsque l'on s'endort l'un contre l'autre c'est ma queue durcie qui se retrouve contre la raie de ses fesses et ma main caressant l'un de ses tétons. J'aime faire durcir son téton sous mes doigts en m'endormant. Mais parfois j'ai du mal à me contenter de cela. Madame toujours aussi chaude est toujours d'accord pour recevoir ma queue mais l'absence de chaleur dans notre chambre la calme le plus souvent.

Il y a de cela une petite semaine, ma queue gorgée de sève ne demandait qu'une chose : une chatte humide et accueillante. Mais voilà madame, petite tête qu'elle est oublie régulièrement sa pillule ses derniers temps, la précaution était donc de mise. Déjà que je l'ai mise enceinte deux fois sous pillule, c'est dire si mes spermatos sont endurants.

Je lui baissait donc son pantalon de pyjama et commençait à lui travailler la chatte. Lui triturant le clito avec mes doigts, mais j'avais trop envie et j'écourtais mes préparatifs pour venir la prendre en missionnaire. Et c'est là que la baise a tournée court. Un peu trop pressé de me sentir une fois de plus en elle, je me retrouvais dans une fente chaude mais totalement sèche. Je me frottais la queue sur sa fente et son clito espérant la faire mouiller tout en lui mangeant littérallement la bouche. Lorsque je me retrouvais une nouvelle fois en elle, elle était un peu moins sèche mais ce n'était pas encore ça. Je décidais alors de la baiser comme une chienne même si c'était un peu douloureux pour moi du fait du frottement, mais pendant cette petite minute où ma queue allait et venait en elle très rapidement, je pris un pieds agréable malgré la sécheresse vaginale de ma partenaire. Du fait de la pillule c'est sa chatte encore poilue que je vins innonder de mon foutre. Une agréable odeur de luxure s'échappa aussitôt de sa toison.

Alors que je me recouchais auprès d'elle et qu'elle se nettoyait la foune avec des mouchoirs, je me collais à elle. Ma queue enfin vidait ne voulait pas molir. Je sentais qu'elle en voulait encore. A peine néttoyée mais toujours humant ce doux parfum de luxure, je me remis à aller vers sa chatte pour la lécher goulument. Mais ça ce sera pour un autre jour.

Stay Tuned.....